Témoignage de
Stéphanie M. (31ANS)
Chef de projet

a réalisé(e) son bilan de compétences chez ORIENTACTION - Lyon (7eme) en 2017

Bilan de compétences à LYON 07EME ARR

Réalisé à:
LYON 07EME ARR
Année du bilan:
2017

Entre 16 et 18 ans, la société nous demande de choisir ce que nous voulons faire comme métier. Alors on fait le point, on regarde ce que notre niveau scolaire nous ouvre comme portes, on se rend sur les salons, et on regarde ce qui, sur le papier, nous fait le plus envie. C’est comme ça que j’ai choisi de faire mes études en communication, et j’en suis ressortie 5 ans plus tard avec un Master 2 en poche.

Fraîchement diplômée, j’ai trouvé un job de rêve (à l’époque) en tant que chef de projet dans une agence de pub. J’ai exercé ce métier « paillettes » durant presque 6 ans. Durant ces années j’ai appris énormément sur le métier, sur la relation client, sur l’humain en règle générale. J’ai eu de bons moments, mais j’ai surtout eu de mauvais moments : patrons intrusives dans la vie personnelle, clients désagréables voir irrespectueux, propos sexistes et parfois racistes, ... Bref, j’ai vite déchanté, mais pourtant je suis restée pour plein de raisons : parce qu’il fallait bien régler les factures, parce que j’ai eu un premier enfant et qu’il faut le meilleur pour lui, parce que ce n’est pas si simple de prendre le risque du changement, … Pourtant j’étais vraiment mal dans ce job.

Et puis parce qu’il n’y a pas de hasard dans la vie, je suis tombée à nouveau enceinte mais cette fois-ci mon corps a lâché trop tôt et j’ai eu un bébé plume qui est arrivé avec 2 mois d’avance. J’ai alors découvert l’univers de la néonatalogie, et ses petits êtres, qui à peine nés, doivent se battre de toutes leurs forces pour s’accrocher à la vie. Durant très exactement  46 jours, j’ai côtoyé ces petits guerriers et leurs parents, j’ai vu des personnes qui quotidiennement faisaient, à mon sens, un « métier utile », un métier nécessaire. Mais j’ai surtout vu mon bébé se battre pour vivre, pour grandir et cela m’a profondément bouleversé, changé. J’ai pris conscience que je passais plus de 10h par jour à ne faire que des choses futiles, qui n’ont de sens que pour les gens de ce monde-là, un monde auquel je n’appartenais plus. Du haut de ses 44 centimètres, mon fils m’a appris la plus importante des choses dans la vie : nous en avons qu’une, nos êtres chers aussi, le temps s’écoule bien trop vite, et qu’en une seconde tout peut basculer. J’ai alors décidé de ne plus m’accommoder de choses qui ne me convenaient plus. Mes fils m’ont donné le courage d’affronter mes patrons et de leur dire que je devais partir parce que je ne voulais plus exercer ce métier. Après cela, tout était devenu possible, j’avais aucune idée du métier que je souhaitais faire mais j’avais l’impression de pouvoir faire tout ce dont j’avais envie. 

J’ai décidé de faire le point sur mes compétences et j’ai débuté un bilan de Compétences chez Orient’Action. Je me suis sentie en confiance avec Virginie, assez pour lui livrer mon histoire personnelle, celle qui m’a amené jusqu’à son bureau. Je me suis ensuite laissée guider par elle, mais j’ai aussi beaucoup travaillé. Parce que finalement la réussite de mon bilan dépendait pour beaucoup de moi, puisque les réponses je les détenais et que nous parlions de mon avenir, mais Virginie était là pour m’aider à avancer mieux et plus vite. Elle sait où chercher, sur quel bouton appuyer pour faire ressortir une qualité, un défaut, une envie profonde. Durant ces 4 mois de bilan, j’ai appris que je ne devais pas avoir de regrets, j’ai choisi la communication parce que cela me convenait à un moment de ma vie, que ce métier m’a fait grandir et qu’il va m’ouvrir des portes que je n’aurais jamais entrouvertes sans lui. J’ai appris que je devais vivre tout cela pour comprendre que je voulais un métier « utile », un métier qui a du sens pour moi, qui correspond à mes valeurs mais surtout qui me permet d’avoir une vie équilibrée et épanouie. 

Aujourd’hui, j’ai décidé de passer le concours de Professeur des Ecoles. L’enseignement a un sens et les enfants sont pour moi une source d’inspirations et d’espoir pour notre monde. J’ai découvert que j’avais les compétences pour exercer ce métier. Je ne sais pas encore ce que l’avenir me réserve, si je vais réussir le concours ou pas, mais je suis jeune et encore beaucoup d'années de travail à effectuer, alors autant tenter de trouver un travail qui correspond plus à mes valeurs et à ce que je suis profondément.

Aujourd’hui, j’ai décidé de tout faire pour être heureuse et que ma famille le soit. Le bilan de compétences m’a aidé à tourner une page professionnelle et m’offre une page blanche à écrire en toute liberté, alors je vais sortir ma plus belle plume et m’appliquer. 

Entre 16 et 18 ans, la société nous demande de choisir ce que nous voulons faire comme métier. Alors on fait le point, on regarde ce que notre niveau scolaire nous ouvre comme portes, on se rend sur les salons, et on regarde ce qui, sur le papier, nous fait le plus envie. C’est comme ça que j’ai choisi de faire mes études en communication, et j’en suis ressortie 5 ans plus tard avec un Master 2 en poche.

Fraîchement diplômée, j’ai trouvé un job de rêve (à l’époque) en tant que chef de projet dans une agence de pub. J’ai exercé ce métier « paillettes » durant presque 6 ans. Durant ces années j’ai appris énormément sur le métier, sur la relation client, sur l’humain en règle générale. J’ai eu de bons moments, mais j’ai surtout eu de mauvais moments : patrons intrusives dans la vie personnelle, clients désagréables voir irrespectueux, propos sexistes et parfois racistes, ... Bref, j’ai vite déchanté, mais pourtant je suis restée pour plein de raisons : parce qu’il fallait bien régler les factures, parce que j’ai eu un premier enfant et qu’il faut le meilleur pour lui, parce que ce n’est pas si simple de prendre le risque du changement, … Pourtant j’étais vraiment mal dans ce job.

Et puis parce qu’il n’y a pas de hasard dans la vie, je suis tombée à nouveau enceinte mais cette fois-ci mon corps a lâché trop tôt et j’ai eu un bébé plume qui est arrivé avec 2 mois d’avance. J’ai alors découvert l’univers de la néonatalogie, et ses petits êtres, qui à peine nés, doivent se battre de toutes leurs forces pour s’accrocher à la vie. Durant très exactement  46 jours, j’ai côtoyé ces petits guerriers et leurs parents, j’ai vu des personnes qui quotidiennement faisaient, à mon sens, un « métier utile », un métier nécessaire. Mais j’ai surtout vu mon bébé se battre pour vivre, pour grandir et cela m’a profondément bouleversé, changé. J’ai pris conscience que je passais plus de 10h par jour à ne faire que des choses futiles, qui n’ont de sens que pour les gens de ce monde-là, un monde auquel je n’appartenais plus. Du haut de ses 44 centimètres, mon fils m’a appris la plus importante des choses dans la vie : nous en avons qu’une, nos êtres chers aussi, le temps s’écoule bien trop vite, et qu’en une seconde tout peut basculer. J’ai alors décidé de ne plus m’accommoder de choses qui ne me convenaient plus. Mes fils m’ont donné le courage d’affronter mes patrons et de leur dire que je devais partir parce que je ne voulais plus exercer ce métier. Après cela, tout était devenu possible, j’avais aucune idée du métier que je souhaitais faire mais j’avais l’impression de pouvoir faire tout ce dont j’avais envie. 

J’ai décidé de faire le point sur mes compétences et j’ai débuté un bilan de Compétences chez Orient’Action. Je me suis sentie en confiance avec Virginie, assez pour lui livrer mon histoire personnelle, celle qui m’a amené jusqu’à son bureau. Je me suis ensuite laissée guider par elle, mais j’ai aussi beaucoup travaillé. Parce que finalement la réussite de mon bilan dépendait pour beaucoup de moi, puisque les réponses je les détenais et que nous parlions de mon avenir, mais Virginie était là pour m’aider à avancer mieux et plus vite. Elle sait où chercher, sur quel bouton appuyer pour faire ressortir une qualité, un défaut, une envie profonde. Durant ces 4 mois de bilan, j’ai appris que je ne devais pas avoir de regrets, j’ai choisi la communication parce que cela me convenait à un moment de ma vie, que ce métier m’a fait grandir et qu’il va m’ouvrir des portes que je n’aurais jamais entrouvertes sans lui. J’ai appris que je devais vivre tout cela pour comprendre que je voulais un métier « utile », un métier qui a du sens pour moi, qui correspond à mes valeurs mais surtout qui me permet d’avoir une vie équilibrée et épanouie. 

Aujourd’hui, j’ai décidé de passer le concours de Professeur des Ecoles. L’enseignement a un sens et les enfants sont pour moi une source d’inspirations et d’espoir pour notre monde. J’ai découvert que j’avais les compétences pour exercer ce métier. Je ne sais pas encore ce que l’avenir me réserve, si je vais réussir le concours ou pas, mais je suis jeune et encore beaucoup d'années de travail à effectuer, alors autant tenter de trouver un travail qui correspond plus à mes valeurs et à ce que je suis profondément.

Aujourd’hui, j’ai décidé de tout faire pour être heureuse et que ma famille le soit. Le bilan de compétences m’a aidé à tourner une page professionnelle et m’offre une page blanche à écrire en toute liberté, alors je vais sortir ma plus belle plume et m’appliquer. 

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ORIENTACTION - Lyon (7eme)

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