a réalisé(e) son bilan de compétences chez ORIENTACTION - Manosque (04) en 2019
Après 25 ans d'activité dans la même entreprise, je pourrais justement considérer que la plus grosse partie de mon parcours professionnel a désormais été accomplie, et qu'il ne me reste plus qu'à profiter de l'inertie de toute cette énergie déployée durant ces décennies pour glisser tranquillement jusqu'à une retraite bien méritée. Cette vision est d'autant plus crédible au regard de mon employeur qui n'a jamais ouvertement déclaré sa volonté de se passer de mes services pour lesquels il me paye correctement.
Mais malgré mon ancienneté et mon implication sans relâche, je ne pense pas que mon poste actuel puisse me permettre d'atteindre un jour le seuil de l'accomplissement. En effet, au delà de la sécurité de l'emploi, je suis aujourd'hui surtout en quête de plus d'indépendance et de connexions sociales, mais aussi de relations avec mes pairs, ceci afin de travailler officiellement sur des projets innovants, voir avant-gardistes.
Par ailleurs, en dépit de la bonne santé économique de l'entreprise dans laquelle je travaille, un projet de réorganisation des sites de production risque fortement d'impacter mon emploi.
En résumé, que je le veuille ou non, un changement se profile, et je voudrais l'initier plutôt que de le subir.
Le bilan de compétences m'a permis de prendre du recul sur mon parcours professionnel, d'identifier mes forces, mes faiblesses et de mieux connaître ma personnalité. La démarche m'a rapidement conduit vers des projets crédibles et en correspondance avec mes valeurs.
Designer industriel en quête de plus d'indépendance, de reconnaissance et de projets avant-gardistes, j'ai étudié plusieurs alternatives qui ont été hiérarchisées de la manière suivante:
La première serait de faire évoluer mon poste à une échelle internationale, ce qui répondrait à mon besoin de sécurité et d'autonomie. La seconde consisterait à créer ma propre activité, ce qui se traduirait par plus d’indépendance au détriment de la sécurité. Puis la dernière, serait d'intégrer un master MEEF pour accéder aux métiers de l'enseignement et devenir professeur de technologie en art appliqué.
Même si cette dernière alternative présente un obstacle majeur au niveau de la rémunération, c'est celle qui selon moi répondrait le mieux à ma quête d'accomplissement et d'éternité.
Après 25 ans d'activité dans la même entreprise, je pourrais justement considérer que la plus grosse partie de mon parcours professionnel a désormais été accomplie, et qu'il ne me reste plus qu'à profiter de l'inertie de toute cette énergie déployée durant ces décennies pour glisser tranquillement jusqu'à une retraite bien méritée. Cette vision est d'autant plus crédible au regard de mon employeur qui n'a jamais ouvertement déclaré sa volonté de se passer de mes services pour lesquels il me paye correctement.
Mais malgré mon ancienneté et mon implication sans relâche, je ne pense pas que mon poste actuel puisse me permettre d'atteindre un jour le seuil de l'accomplissement. En effet, au delà de la sécurité de l'emploi, je suis aujourd'hui surtout en quête de plus d'indépendance et de connexions sociales, mais aussi de relations avec mes pairs, ceci afin de travailler officiellement sur des projets innovants, voir avant-gardistes.
Par ailleurs, en dépit de la bonne santé économique de l'entreprise dans laquelle je travaille, un projet de réorganisation des sites de production risque fortement d'impacter mon emploi.
En résumé, que je le veuille ou non, un changement se profile, et je voudrais l'initier plutôt que de le subir.
Le bilan de compétences m'a permis de prendre du recul sur mon parcours professionnel, d'identifier mes forces, mes faiblesses et de mieux connaître ma personnalité. La démarche m'a rapidement conduit vers des projets crédibles et en correspondance avec mes valeurs.
Designer industriel en quête de plus d'indépendance, de reconnaissance et de projets avant-gardistes, j'ai étudié plusieurs alternatives qui ont été hiérarchisées de la manière suivante:
La première serait de faire évoluer mon poste à une échelle internationale, ce qui répondrait à mon besoin de sécurité et d'autonomie. La seconde consisterait à créer ma propre activité, ce qui se traduirait par plus d’indépendance au détriment de la sécurité. Puis la dernière, serait d'intégrer un master MEEF pour accéder aux métiers de l'enseignement et devenir professeur de technologie en art appliqué.
Même si cette dernière alternative présente un obstacle majeur au niveau de la rémunération, c'est celle qui selon moi répondrait le mieux à ma quête d'accomplissement et d'éternité.